Dansce 19 ème épisode sur la lettre aux Éphésiens, Dominique Angers traite du combat spirituel. Éphésiens 6.10-20 est le texte du Nouveau Testament le plus explicite et le plus clair à ce propos. Paul y invite les chrétiens à puiser leur force en Christ et à se revêtir de l’armure de Dieu. Le combat spirituel - Éphésiens 6.10-20
Les derniers mois ont été marqués par plusieurs phénomènes inédits un confinement simultané de plus de la moitié de la population mondiale en raison de la pandémie de Covid-19, et une mobilisation mondiale contre toutes les formes de discrimination et de racisme, après le meurtre brutal de George Floyd aux États-Unis. Y aurait-il un lien entre ces événements ? Les privations imposées à nos libertés pendant le confinement ont-elles permis une prise de conscience des inégalités et injustices inhérentes à nos sociétés ? Une nouvelle conscience morale ? Nous proposons d’examiner cette question à la lumière de la morale existentialiste de Simone de Beauvoir, autrice de Pour une morale de l’ambiguïté, qui dans l’immédiat après-guerre proposa une éthique mettant en avant l’incertitude et l’ambiguïté de la condition humaine comme fondement d’une nouvelle éthique basée sur la lutte pour la liberté de tous. Son œuvre est une ressource pour puiser la force de vivre et des raisons d’agir » dans la conscience de notre condition et des liens qui nous relient aux autres. De la vulnérabilité à l’engagement Les épidémies, comme les guerres et les situations d’extrême urgence sont des événements qui bouleversent radicalement la vie collective et individuelle, nous mettant face à notre vulnérabilité, notre impuissance et nos inévitables échecs moraux. En temps de crise, des vies et des libertés sont perdues, nous ne pouvons pas sauver tout le monde, nous ne pouvons pas respecter l’ensemble de nos valeurs. Nous devons renoncer à certaines de nos libertés, voire à certains de nos principes moraux les plus fondamentaux. Nous nous trouvons confrontés à des dilemmes insolubles, et ainsi à une conscience aiguë de l’ambiguïté de notre condition nous croyions pouvoir décider de notre vie, nous nous rendons subitement compte que des événements externes peuvent anéantir l’ensemble de nos projets. Il y a de quoi succomber au désespoir. Beauvoir nous rappelle cependant que cette conscience de l’ambiguïté de notre existence, et de sa vulnérabilité, peut et doit être le point de départ pour une nouvelle manière de penser la morale, qui met la valeur de la liberté humaine au centre de nos préoccupations. Lorsque les circonstances extérieures économiques, sociales ou politiques pèsent sur nous, il est facile de tomber dans la résignation et de fuir notre responsabilité. Une vie pleinement morale, cependant, doit être une existence authentiquement assumée – ou comme le disait Kierkegaard, une existence dans laquelle nous nous voyons comme concernés par le sort des autres et le monde qui nous entoure. Ou encore comme le dit Beauvoir L’homme ne peut trouver que dans l’existence des autres hommes une justification de sa propre existence. » Or, la période de confinement a certes été l’occasion d’une privation de liberté, mais elle a également été l’opportunité de voir se développer de nouvelles solidarités et des mobilisations exceptionnelles. Celle qui se poursuit aujourd’hui contre le racisme et la discrimination est encore une preuve que nous ne pouvons et ne devons pas nous soucier uniquement de nous-mêmes, et que les vulnérabilités individuelles et les injustices sociales sont le problème de tous. Penser la liberté pour se soucier d’autrui Aujourd’hui, nos portes et nos frontières commencent lentement à rouvrir ; plus de la moitié de la population mondiale s’est trouvée ou se trouve encore en confinement, coupée de l’espace public et des autres. Cette situation a révélé de nombreuses inégalités, et en a créé de nouvelles ; pour la première fois depuis sa création, l’indice de développement humain est en baisse, avec 265 millions de personnes qui risquent de faire face à une crise alimentaire majeure, des pertes d’emplois et de revenus, et un recul de l’accès à l’éducation. Dans certains pays, le confinement aura été un prétexte pour réprimer les oppositions politiques, dans d’autres – comme en Inde – il a provoqué des exodes de masse. Et dans d’autres encore, comme aux États-Unis, il a révélé au grand jour les inégalités sociales en matière de conditions de vie et d’accès aux soins. Dans un tel contexte, la question de la valeur de la liberté individuelle devient d’autant plus importante. Comment préserver notre liberté, alors même que nous savons devoir faire des sacrifices pour le bien public ? Comment lutter pour la liberté des autres, alors que la nôtre est déjà mise à mal ? Cependant, c’est précisément dans ces moments d’impuissance, Beauvoir nous le rappelle, que nous prenons conscience du fait que notre liberté ne peut jamais valablement s’accomplir dans l’isolement. Penser notre liberté, c’est aussi reconnaître que nos vies et nos possibilités sont inextricablement liées à celles de tous les autres. Si cette dépendance peut nous effrayer, parce qu’elle est synonyme de fragilité, c’est aussi l’occasion de développer une autre manière de penser la communauté comme une pluralité des hommes concrets, singuliers » dans leur diversité. C’est aujourd’hui que nous agissons Aujourd’hui […] nous avons bien du mal à vivre, parce que nous sommes trop appliqués à déjouer la mort, » écrivait Simone de Beauvoir en 1947. Cette affirmation vaut tout autant à l’heure actuelle, même si la situation n’a rien de comparable avec l’horreur de la Seconde Guerre mondiale et des camps de la mort. Aujourd’hui comme alors, cependant, il est nécessaire de mobiliser nos ressources pour sauver des vies et conditions de vie, et de lutter pour la dignité de la vie humaine. Aujourd’hui comme alors, les iniquités de quelques-uns et l’indifférence ou l’inaction de la majorité créent les conditions qui permettent à la haine et la discrimination de proliférer. Face à cette situation, l’éthique semble mise à mal. Dans un tel contexte, il peut nous sembler que nos choix sont limités ; nous devons faire des sacrifices, accepter des compromis. Nous constatons de plus en plus les inégalités entre les plus favorisés et les plus défavorisés au sein de notre société, entre les privilégiés et les laissés pour compte. Cette situation nous renvoie à notre impuissance, et la tentation peut être grande de jeter l’éponge et de déclarer forfait. Le message de Beauvoir est cependant tout autre quel que soit le contexte, aussi impossible, semble-t-il, c’est aujourd’hui que nous vivons et agissons, ce sont nos décisions et nos actions actuelles qui détermineront le monde de demain. Il ne faut pas attendre des jours meilleurs, la paix ou l’accalmie, pour lutter pour le monde que nous voulons voir advenir. Ce sont nos choix et actions à chaque moment qui déterminent le cours de l’histoire. En insistant sur le fait que notre liberté dépend de celle de tous les autres, elle souligne également que notre tâche doit être de lutter pour réduire les inégalités et mettre fin à des situations qui empêchent les autres de faire des choix libres. L’éthique, selon Beauvoir, ne peut jamais avoir de sens dans un contexte de repli sur soi. Vulnérabilité et espoir Mais comment agir et choisir alors que notre champ d’action est si limité ? Ce fut aussi la question pour Beauvoir, en temps de guerre, où même respirer pouvait devenir une forme de collaboration coupable lorsque ne pas résister contre l’oppression équivaut à perpétuer des systèmes inacceptables. Bien de choses ne dépendent pas de nous, c’est cette conscience profonde qui est au cœur de la morale existentialiste. Mais ce qui dépend toujours de notre pouvoir, c’est la manière dont nous nous engageons concrètement dans nos rapports aux autres. Comme Beauvoir nous le rappelle, il est facile de s’endormir au malheur d’autrui et de le compter pour peu », surtout lorsque nos propres vies ou intérêts sont en jeu. Aujourd’hui, la revendication de liberté résonne dans toutes les bouches, mais encore faut-il bien déterminer pour quelle liberté nous voulons lutter. Certains y font appel pour décrier le port du masque ou manifestent contre les mesures de prophylaxie – illustrant une dangereuse tendance à objectifier la valeur de la vie humaine, et à privilégier des considérations individuelles au bien collectif. Mais en même temps, la très forte mobilisation contre la discrimination, portée largement par des personnes qui n’ont jamais manifesté et ne s’étaient jamais considérées comme concernées jusqu’alors, par les privilégiés » comme le disent certains suivant la formule de Beauvoir, montre une autre tendance moderne celle de la revendication d’une vraie liberté pour tous, celle qui vise à garantir des conditions de vie dignes et équitables. Si la guerre, la maladie et la mort nous rappellent que nous sommes bien peu de choses dans ce vaste monde, que nos existences sont vulnérables et nos choix limités, Beauvoir nous invite à comprendre que cette reconnaissance même est la source d’une nouvelle prise de conscience de la valeur de notre existence et de celle des autres. Tirant les leçons des horreurs de la guerre, Beauvoir nous lance un message d’espoir pour notre époque [C’]est parce qu’il y a un vrai danger, de vrais échecs, une vraie damnation terrestre, que les mots de victoire, de sagesse ou de joie ont un sens. Rien n’est décidé d’avance et c’est parce que l’homme a quelque chose à perdre et qu’il peut perdre qu’il peut aussi gagner. » Aujourd’hui, nous avons tous hâte de sortir de la crise, de retrouver notre liberté » et la vie normale ». N’oublions cependant pas dans cette précipitation les leçons de Simone de Beauvoir et celles de nos expériences collectives des derniers mois notre liberté ne peut jamais être garantie que si nous travaillons également pour la liberté de tous, et ce travail passe par les choix et les actions concrètes de chacun. Ily avait au moins 1,5 million de personnes à Washington, 3 millions dans tout le pays, et 5 millions dans le monde. C'est dingue. Avant la marche, ilÀToulouse, cliniques et hôpitaux s'apprêtent à vivre les 15 jours les plus difficiles de l'été. À l’hôpital des enfants de Toulouse, un été à bout de souffle. CGT: le syndicat
Le Front Logement est présent depuis des années en Seine-Saint-Denis, dans les luttes contre les expulsions de logements, dans les luttes pour la réquisition de logement, et contre l’urbanisme de classe plan de rénovations.... Ses militant-es ont participé et été à l’initiative de nombreuses luttes dans le département. Voici ce que nous défendons dans ces luttes. 1/ Nous voulons construire d’urgence des solidarités et de la résistance pour le logement. 3,9 millions de personnes sont mal logées sans qu’aucune résistance globale ni unité ne soit possible. Pour nous, le chacun pour soi reviendra toujours à ce que tout le monde se retrouve dans la merde et que ce soit toujours les mêmes qui en profitent propriétaires-rentiers, promoteurs, entreprises du BTP, agences immobilières... 2/ Pour nous, la lutte pour le logement est au cœur de la lutte des classes. Par le biais des loyers et donc de la propriété privée, les propriétaires-rentiers s’accaparent les revenus des exploité-es. Avec l’explosion des loyers, l’accaparement ne fait qu’augmenter et les conditions pour se loger s’aggravent 3/Pour nous, les loyers que nous payons ne sont pas autre chose que du racket organisé sur le dos de l’ensemble des exploité-es. 4/ Pour nous, La lutte pour le logement concerne tous les exploité-es et avant tous les habitantEs des quartiers populaires. Logement trop petits, trop chers, menaces d’expulsion, la violence sociale a plusieurs visages et ses conséquences multiples scolarité bridée, vie famille et personnelle brisée, risque de perte d’emploi. Et elle devient criminelle au regard du nombre de personnes qui décèdent chaque année dans la rue depuis 2008, 6000 personnes sans domiciles sont mortes dans la rue ou de mal-logé-es ou ne pouvant plus payer, qui se suicident. En 2012 à St Denis, une femme mal-logéEs s’immole à la mairie, quinze jours plus tard, une autre femme dont le loyer était aussi élevé que son salaire, se suicidait. 5/ Pour nous, la lutte pour le logement est avant tout une lutte syndicale, ou de la même manière que les travailleuse-eurs ont à résister face au patronat pour améliorer leurs conditions de travail, les locataires et habitantEs à crédit, ont à s’opposer aux propriétaires-rentiers et aux spéculateurs pour améliorer leurs conditions de logement baisse des loyers, salubrité... 6/Nous mettons en accusation le maintien de logements vacants par l’État, les grands propriétaires 2,6millions de logements sont vides. Pourquoi ? Pour faire monter les loyers et le prix des logements. Il en va de même pour la construction de bureaux avant même celle de logements. La crise permanente du logement est organisée par une fausse pénurie de logements entretenue par les millions de logement vacants. A l’origine de cette crise » permanente du logement la recherche de profits, propre au capitalisme, et sa conséquence la spéculation. 7/ Nous dénonçons les centaines de milliers de logements insalubres qui empoisonnent 2, 3 millions d’habitant-es et leurs enfants en premier lieu. Les propriétaires et les syndicats d’immeubles laissent à pourrir les logements, avec le soutien tacite des mairies et de l’État. Face à l’insalubrité, notre action doit été tournée vers les services d’hygiène municipaux, vers les propriétaires vautours, les bailleurs, les agences immobilières et les syndics. 8/ Pour nous, la gestion par l’État des logement ne constitue pas une solution mais une partie du problème. Clientélisme des bailleurs, corruption, lois en faveur des propriétaires, plan de rénovation-nettoyage social, sont les conséquences de cette gestion. En tant que membre des organisations populaires il nous est impossible de nous y associer. Notre indépendance est notre force dans cette guerre de classe qu’est l’exploitation des travailleur-euse par la pression du logement. . 9/Nous dénonçons la rénovation urbaine comme piège à expulsion et accélérateur du nettoyage social dans les quartiers pauvres. La réappropriation des villes populaires par la bourgeoisie gentrification se met en place par la hausse des loyers, entraînés par les démolitions, les expulsions, la construction de logements chers. 10/ Pour les femmes c’est la double peine elles sont les plus précaires les plus pauvres, et de plus en plus seules avec des enfants à charge. Nous dénonçons la pression normalisante et sexiste des bailleurs qui poussent les femmes à emménager avec un conjoint. Pour elles, l’obtention d’un bail est un parcours de la combattante d’autant plus quand on est racisée. La sélection au faciès est l’une des norme principale d’attribution des logements, pratique raciste banalisée qui empoisonne les personnes non blanches ou le nom de famille qui ne convient pas. Pour les sans-papierEs, l’exclusion est totale et il leur est impossible de prétendre à un bail, dans le public ou le privé. 11/ Nous voulons l’unité des collectifs de base de lutte pour le logement. Ce n’est que par la fédération des collectifs que nous briserons l’isolement et pourrons peser réellement. Le front logement s’investit avec force depuis des années à Saint Denis, dans les luttes en soutien aux expulsé-es, aux sinistré-es, avec les familles mal-logé-es des écoles, pour la réquisition de logements et l’alliance avec les autres luttes en région parisienne dans le 93, le 94…. C’est pourquoi nous avons été partis prenant de l’ouverture du centre social Attiéké. Alors même que la situation est toujours plus dure, le pouvoir populaire s’est renforcé, nous avons pu obtenir plusieurs victoires. 12/ Nous nous inscrivons dans l’histoire méconnue des luttes pour le logement qui dès le début du XXe, réunissaient sur des bases syndicales, des centaines de milliers de locataires face à la pression et au pouvoir des propriétaires vautours. De là est né un rapport de force considérable, obtenue par l’action directe et l’auto-organisation des locataires, posant les bases d’une solidarité de classe se reconnaître membre d’un même camp, d’une même classe qui subit la dictature des propriétaires bourgeois. 13/Nous refusons la hiérarchie dans les lutte. Avoir des chefs c’est affaiblir le pouvoir populaire. Des bases hiérarchiques en permettent pas de créer de vraie solidarité, mais crée de la dépendance , du paternalisme, , le remplacement de la lutte apr du service, et peut entraîner de la compromission avec le pouvoir. La force collective repose sur l’auto-organisation des locataires et des mal-logé-es, l’éducation populaire. Sans la construction d’organisations populaire de masses, nous ne parviendrons à faire reculer la misère, ni briser nos chaînes. 14/Nous refusons le cannibalisme social, cette volonté de sauver sa peau à tout prix, quitte à marcher sur l’autre, et désigner les pauvres comme responsables de leur pauvreté. Face à cet individualisme violent, l’unité des locataires ou habitant-es à crédit, pour nous est à construire La question du logement fait partie d’une longue stratégie de division de la part de l’État entre locataire ou non d’HLM…, de ségrégation sociale et raciste dans les quartiers populaires de manière à détruire les solidarités populaires. 15/Nous défendons la réquisition des logements et leur expropriation. L’expropriation est le moyen s’assurer une réelle redistribution des richesses, et leur socialisation. La mise en commun des logements, leur gestion collective et la garantie d’un logement pour tou-tes, sont nos solutions pour assurer la justice sociale et renforcer le pouvoir populaire. Pour cela, nous défendons l’action directe contre ce qui est à la source des inégalités et des injustices les grands propriétairesvautours, l’État, les mairies, les bailleurs, les entreprises du BTP par la grève des loyers et des charges, par les occupations d’institutions et de bâtiments. Pour nous, révolutionnaires, la socialisation des logements, est le point d’appui d’une société égalitaire, libertaire, débarrassée du capitalisme.
Lecommissaire européen au Commerce, Valdis Dombrovskis, a déclaré que les deux alliés avaient convenu de coopérer dans les forums internationaux, tels que l'Organisation mondiale du commerce
Accompagné du chancelier allemand Olaf Scholz et du premier ministre italien Mario Draghi, Emmanuel Macron s’est rendu en Ukraine jeudi 16 juin pour la première fois depuis le début de l’invasion une interview accordée à TF1 depuis Kiev et diffusée dans le journal de 20 heures », le président de la République a affirmé que cette visite était une manière très claire » et très nette d’apporter le soutien de la France et de l’Europe unie à l’Ukraine et au peuple ukrainien ». Je souhaite que l’Ukraine puisse défendre son territoire et retrouver sa souveraineté », a-t-il chef de l’État considère-t-il qu’aucune concession ne doit être faite avec la Russie ? C’est à l’Ukraine de le décider …. Nous devons aider l’Ukraine à tenir dans une guerre qui va durer. Nous n’avons pas à décider des conditions de la fin de cette guerre. Les choix qui seront faits sur les territoires, les concessions ou l’absence de concessions, c’est au dirigeant de l’Ukraine de le faire », a-t-il répondu. Un signal d’espoir »Le président de la République a poursuivi en affirmant qu’il était faux » de dire que ses rapports avec Volodymyr Zelensky s’étaient refroidis, et a assuré que toutes ses discussions avec Vladimir Poutine se sont faites en toute transparence », et même parfois à la demande » du président ukrainien. Si Emmanuel Macron n’exclut pas » une visite en Russie, cette dernière supposerait des conditions préalables » et des gestes » de la part de Vladimir l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, le chef de l’État a réitéré les propos qu’il a tenus plus tôt dans la journée avec Olaf Scholz, Mario Draghi et Klaus Iohannis. Nous disons à l’Ukraine “Oui, nous sommes prêts maintenant à vous reconnaître ce statut de candidat à l’adhésion.” Mais nous leur avons dit que ce processus allait prendre du temps, qu’il y aura des conditions et une feuille de route. Vous ne serez pas membre demain. Il y a beaucoup de chemin à faire, mais c’est un signal d’espoir », a affirmé le Emmanuel Macron a expliqué que la France planchait avec l’Ukraine à une solution pour exporter les plus de 20 millions de tonnes de blé bloquées à Odessa. Nous travaillons à une autre voie qui est de passer par la Roumanie et de pouvoir accéder au Danube et au chemin de fer. Nous sommes en train de constituer un point de liaison où nous pourrions beaucoup plus fortement et massivement exporter ces céréales », a-t-il indiqué. L’opération, qui a déjà commencé, se fait avec l’aide d’entreprises, de militaires et d’experts français.
Généralement on ne veut pas dans notre vie de personnes conflictuelles, de personnes négatives, de personnes toxiques, ni de
français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois espagnol Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă votre recherche C'est nous qui avons luttĂ© contre l'apartheid, nous les Africains. Fuimos nosotros, los africanos, quienes luchamos contra el apartheid. Et nous-mĂŞmes, qui avons luttĂ© contre l'apartheid, nous voilĂ après coup devenus des partisans du terrorisme ! De este modo, tambiĂ©n los que nos oponĂamos al apartheid nos revelamos a posteriori como prestadores de apoyos al terrorismo. Nous qui avons luttĂ© toute notre vie pour la cause nationale, pour la protection des droits et des intĂ©rĂŞts de notre peuple et contre l'hĂ©gĂ©monie et l'occupation, nous ne permettrons par qu'une telle tragĂ©die se reproduise. Sin embargo, los que hemos luchado toda la vida por nuestra causa nacional, para la protecciĂłn de los derechos y los intereses de nuestro pueblo y en contra de la hegemonĂa y la ocupaciĂłn no permitiremos que vuelva a ocurrir semejante tragedia. On dit que les femmes sont plus faibles mais, Ă vrai dire, c'est nous qui avons luttĂ© sur divers fronts, pour la terre, contre la privatisation de l'Ă©ducation, pour la santĂ©, parmi d'autres revendications. Pero en verdad somos quienes estamos luchando ante muchos frentes, por la tierra, ante la privatizaciĂłn de la educaciĂłn, la salud, entre otras reivindicaciones. Il croit qu'il peut nous montrer, Ă nous qui avons luttĂ© si durement pour la libertĂ© de nos peuples, les vertus de la DĂ©claration universelles des droits de l'homme. Él cree que puede presentarnos a nosotros -que soportamos la lucha en defensa de los derechos de nuestros pueblos- las virtudes de la DeclaraciĂłn Universal de Derechos Humanos. Plus de rĂ©sultats C'est donc nous, en Italie, qui avons lancĂ© la lutte contre la peine de mort. Somos nosotros, por tanto, los que en Italia hemos emprendido la lucha contra la pena de muerte. Monsieur le PrĂ©sident, nous qui avons soutenu la lutte pour l'indĂ©pendance de l'ErythrĂ©e, sommes consternĂ©s par l'Ă©volution des autoritĂ©s de ce pays, qui subit dĂ©jĂ les consĂ©quences dramatiques du rĂ©cent conflit avec l'Éthiopie. Señor Presidente, los que hemos apoyado la lucha por la independencia de Eritrea estamos consternados por la evoluciĂłn de las autoridades de este paĂs, que ha sufrido ya las dramáticas consecuencias del reciente conflicto con EtiopĂa. Nous avons luttĂ© pour comprendre pourquoi... Nous connaissons le prix de l'indĂ©pendance nous avons luttĂ© 130 annĂ©es pour elle. Conocemos el precio de la independencia hemos luchado 130 años por ella. Sous les communistes nous avons luttĂ© contre les conventions. Mira, rechazamos las maneras convencionales. Ce pour quoi nous avons luttĂ©. Nous avons luttĂ© pendant 3 ans, Jackie. Nous avons luttĂ© avec nos vies pour l'Empire que nos ancĂŞtres ont créé. Hemos luchado con nuestras vidas por el imperio que nuestros ancestros crearon. Nous avons luttĂ© bec et ongles pour arriver lĂ oĂą nous sommes aujourd'hui. Nous avons luttĂ© pendant quatre ans pour Ă©difier une institution judiciaire internationale digne des Nations Unies. Nous avons luttĂ© contre les incendies sans assez de gens. Non. Nous avons luttĂ© jusqu'Ă maintenant. Et c'est contre ça que nous avons luttĂ©. Et nous avons luttĂ© ensemble pour construire une authentique dignitĂ© ici. Y luchamos juntos para poder tener una autĂ©ntica dignidad. Nous avons luttĂ© pendant 3 ans, Jackie. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 170854. Exacts 5. Temps Ă©coulĂ© 429 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200
Lorganisation s’est entretenue avec 55 personnes qui avaient été détenues dans des camps d’internement puis libérées. Elles avaient toutes été arrêtées pour des actes qui semblaient, selon toute norme raisonnable, absolument licites. Autrement dit, elles n’avaient commis aucune infraction pénale reconnue par le droit
French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. we fought we struggled we have fought we have struggledwe have been struggling we have been fighting we've struggled we've fought we battled We wrestled Pendant des décennies, nous avons lutté pour améliorer les conditions des travailleurs de nos collectivités. We fought for decades to make conditions better for the workers in our communities. Pendant la Seconde Guerre mondiale, nous avons lutté contre une tyrannie sans précédent. In World War II we fought unprecedented tyranny. J'ai attrapé son arme et nous avons lutté. Depuis lors, nous avons lutté pour le réparer. À toutes ces occasions, nous avons lutté pour faire respecter les droits et les libertés de tous. Throughout it all, we have fought to uphold the rights and freedoms of all people. Nous connaissons le prix de l'indépendance nous avons lutté 130 années pour elle. We know the price of independence; we have fought 130 years for it. Ensemble, nous avons lutté avec acharnement pour faire une avancée par rapport à Pékin. Collectively we fought hard to move forward from Beijing. Et pendant une heure, nous avons lutté contre les éléments. And for an hour we struggled against the elements. Il est très important de ne pas compromettre la démocratie pour laquelle nous avons lutté avec tant d'acharnement. It is very important that we not jeopardize the democracy for which we fought so hard. Il semblerait que la campagne d'épuration ethnique contre laquelle nous avons lutté prendra fin d'ici quelques heures. It looks as though within hours cleansing policies that we fought against will be terminated. Dans les négociations relatives au budget du Parlement pour 2012, nous avons lutté pour réduire considérablement la proposition originale de 5,7 %. In the negotiations on Parliament's budget for 2012, we fought to significantly reduce the original proposal of Troisièmement, nous avons lutté dès le début pour défendre le principe selon lequel les futures élections dans notre pays ne doivent exclure personne. Thirdly, we fought right from the beginning for the principle that the coming elections in our country must be all-inclusive. Wo Fat m'a surpris, il s'est jeté sur moi, nous avons lutté pour le pistolet, et déchargé. Wo Fat surprised me, he lunged at me, we struggled for the gun, and it discharged. Comme vous le savez, à cette époque, nous avons lutté avec acharnement pour défendre le Canada. As you know, we fought very strongly for Canada in those days. Ce n'est pas l'Afrique du Sud et la démocratie pour laquelle nous avons lutté, contre les auteurs de l'Apartheid. This is not the South Africa and democracy we fought for against the perpetrators of Apartheid. Et comme vous vous y attendiez, nous avons lutté durement pour supprimer ces menaces. And just as you might expect, we fought as hard as we could to eliminate these threats. Aujourd'hui ce n'était pas notre jour, nous avons lutté avec le vent. Today wasn't our best practice day of the season, we struggled with the wind. Voici comment nous avons lutté contre le spam en 2018. Here's more about how we fought webspam in 2018. Nous dépendions que pour le travail, et nous avons lutté parfois. We depended on that for work, and we struggled sometimes. Ainsi, pendant 200 ans, nous avons lutté face aux conséquences de ces changements. And for 200 years we struggled with the consequences of those changes. No results found for this meaning. Results 343. Exact 343. Elapsed time 276 ms. Documents Corporate solutions Conjugation Synonyms Grammar Check Help & about Word index 1-300, 301-600, 601-900Expression index 1-400, 401-800, 801-1200Phrase index 1-400, 401-800, 801-1200
EnGironde, vers Landiras, où 7 400 hectares ont brûlé dans la semaine, le feu est fixé. Les habitants évacués ont enfin pu rejoindre leur
Rendez-vous le 9 août à 9H30 au tribunal de Montreuil 63 rue Franklin pour soutenir l’occupation lors de la prochaine audience, puis rassemblement devant la mairie à 11h30 ! Laissez-nous nous présenter. Nous sommes un collectif de personnes migrantes majoritairement des femmes dont certaines sont enceintes, et des enfants dont le plus jeune a 15 jours. Nous sommes sans domicile. Nous avons déjà épuisé toutes les solutions temporaires de logement avec le 115 et d’autres organismes. Le 115 propose des hébergements temporaires, d’un à quelques jours, avant de nous remettre à la rue. Cette solution d’urgence nous oblige à être isolées et nous déplacer dans toute l’Île-de-France. Depuis plusieurs mois, nos seules solutions étaient de dormir à la rue. Face à cette situation inacceptable, nous avons décidé d’occuper un restaurant vacant depuis au moins 6 ans au 30bis avenue Pasteur à Montreuil pendant un mois. Nous avions aménagé au mieux ce lieu mais il ne pouvait pas être une situation durable car il était en mauvais état et que la Mairie a décidé de nous expulser. La Préfecture du 93 a été alertée à maintes reprises au sujet de notre relogement mais nous n’avons pas de réponses. Nous sommes soutenues au quotidien par des associations, des collectifs solidaires de Montreuil mais également par des habitants, habitantes de Montreuil. Aucune proposition de relogement à long terme et collective n’a été faite alors que la Mairie a pris un arrêté pour demander notre expulsion. Afin d’éviter une de nous retrouver à la rue et à tous ses dangers, nous avons quitté ce squat et décidé d’occuper un nouveau lieu dans le bas-Montreuil. Nous voulons vivre dans des meilleures conditions. Aujourd’hui nous voulons juste le meilleur pour nos enfants et un suivi pour les femmes enceintes. Nous voulons un endroit pour vivre à long terme, pas un endroit temporaire. Nous maintiendrons le lieu propre, et nous tiendrons compte du voisinage. Nous allons organiser des activités pour les enfants comme l’apprentissage des langues, des sorties dans des parcs. Nous voulons aussi que ce lieu soit le siège de notre association. Le mairie prétend nous aider et se battre pour nous mais ils prennent un arrêté pour nous expulser. Donc nous nous battons toutes seules avec nos enfants, pour leur donner une bonne éducation, et une bonne éducation ne peut pas se faire dans la rue. La mairie nous a dit qu’ils ne pouvaient pas trouver 120 places de logement, mais sur son territoire il y a beaucoup de logements vides. Nous sommes là depuis plus de 48h et nous faire sortir de ce bâtiment est illégal. Nous sommes chez nous et nous comptons bien rester. On espère que la mairie de Montreuil va nous laisser un peu de répit dans ce nouveau lieu. Si elle désire que nous libérions ce lieu, elle devra nous proposer de vraies solutions d’hébergement. Maintenant nous sommes là , mais notre nouvelle maison est toujours menacée par une expulsion car le propriétaire nous a assignées en justice pour l’occupation du bâtiment. Lors d’une première audience le 6 juillet dernier au tribunal d’instance de Montreuil, un report a été obtenu pour le 9 août prochain. Rendez-vous le 9 août à 9H30 au tribunal de Montreuil 63 rue Franklin pour soutenir l’occupation lors de la prochaine audience, puis rassemblement devant la mairie à 11h30 ! Les du collectif Pasteur A propos de l’audience du 6 juillet au tribunal de Montreuil Retour d’ du collectif Pasteur La juge nous a demandé nos papiers d’identité. Il faut les pièces d’identité partout, à l’hôpital, au tribunal…. Les juges nous ont pas adressé la parole, ils nous ont juste demandé nos papiers et ils n’ont parlé qu’avec l’avocate. On entendait pas bien, mais on pouvait comprendre que ça se passait mal. la juge voulait nous juger le même jour ce qui n’est pas normal, c’est comme une sorte d’agression. Le bâtiment doit être vendu, mais nous on est là parce qu’on n’a pas d’endroit ou aller, on peut nous donner un temps, le temps que chacune trouve un endroit ou aller, certaines personnes on déjà eu des solutions, et nous on attend des solutions. La juge est sensée réfléchir plus que la propriétaire, mais elle considère que la vente est plus importante que de mettre des gens à la rue. La mairie ne fait toujours rien, ne dit toujours rien. La seule chose qu’elle a fait jusqu’à maintenant c’est un arrêté d’expulsion. On est allé les voir, ils ont fermé la porte. On a demandé à croiser le maire et on a jamais eu de réponse. Retour de personnes solidaires présentes à l’audience Le 6 juillet avait lieu la première audience du nouveau squat du collectif Pasteur. Un report était demandé dans l’attente d’obtenir l’aide juridictionnelle AJ. D’ordinaire ces demandes sont systématiquement acceptées, mais cette fois la juge était prête à prendre l’affaire le jour même. Suivant ainsi les arguments du propriétaire qui mettaient en avant l’urgence à expulser les habitantes. Cette urgence plaidée par les proprios, elle est justifiée par une promesse de vente et un diagnostique datant de 2021 qui présenterait des problèmes de gaz et d’électricité des locataires occupaient les lieux jusqu’à début 2022, autant dire que le problème était inexistant. Au fond l’urgence est juste de permettre au propriétaire de faire de la thune sur son bien, le diagnostique n’ayant pas été problématique tant que des locataires payaient un loyer, mais devenant soudainement dangereux quand la vente de son bâtiment est retardée par des squatteurs. La juge a fini par concéder un report mais semble bien décider à juger à la prochaine audience, et donc à décider à quel moment elle les remettra à la rue. Soyons nombreux à les soutenir le 9 août ! 5HA03N.