GrĂšveĂ  la crĂšche de Vellefaux ce jour face aux menaces pesant sur l’accueil et l’encadrement. « Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » Pour soutenir votre journalisme local, abonnez-vous ! Des milliers de professionnel-le-s et de parents dans la rue avec Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » et un premier succĂšs pour le printemps des modes d’accueil La journĂ©e de mobilisation du 28 mars 2019 pour un printemps des modes d’accueil a connu une pleine rĂ©ussite elle a rĂ©uni des milliers de professionnel-le-s et de parents dans 40 villes de France 1500 Ă  Paris, 500 Ă  Toulouse, 600 Ă  Nantes, 400 Ă  Lyon et Ă  Bordeaux, 350 Ă  Nice, 300 Ă  Montpellier, 200 Ă  Tours, Grenoble, Bayonne,
 et a donnĂ© lieu Ă  la fermeture de centaines de crĂšches et de multi-accueils en France, tant publics que privĂ©s 75% Ă  Grenoble, 100% Ă  Carcassonne, 90% Ă  Narbonne, 80% Ă  Tours, 75% en municipal Ă  Nice,
 Une dĂ©lĂ©gation de Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » a Ă©tĂ© reçue par des reprĂ©sentantes du cabinet de Madame Christelle Dubos, secrĂ©taire d’État auprĂšs de la ministre des solidaritĂ©s et de la santĂ©. Concernant le projet de rĂ©forme des modes d’accueil dans la suite de l’art. 50 de la loi ESSOC, la mobilisation se traduit par un premier succĂšs le ratio de 40/60 concernant les qualifications requises auprĂšs des enfants ne sera pas remis en cause et les professions du premier groupe ne seront pas modifiĂ©es. D’autres mesures en cours d’examen, dont la premiĂšre trame est vivement prĂ©occupante, telles que le taux d’encadrement des enfants, les modalitĂ©s d’accueil en surnombre, les surfaces par enfant, la capacitĂ© des micro-crĂšches, ne sont pas encore arbitrĂ©es par le gouvernement. Un document devrait ĂȘtre prĂ©sentĂ© par le ministĂšre dans le mois qui vient, indiquant les orientations qu’il aura retenues sur ces dispositions prĂ©cises et sur l’ensemble du projet de rĂ©forme. Une concertation publique sera alors ouverte par le ministĂšre sur cette base. Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » a rappelĂ© son opposition Ă  diverses mesures jusque lĂ  Ă©voquĂ©es par les services ministĂ©riels cf. notre information du 11 mars 2019 et a prĂ©sentĂ© ses vingt propositions pour un printemps des modes d’accueil, parmi lesquelles revenir Ă  un ratio d’au moins 50% de professionnel-le-s les plus qualifiĂ©-e-s en EAJE, atteindre l’objectif d’un ratio moyen d’encadrement d’un professionnel qualifiĂ© pour cinq enfants en EAJE d’ici 2022, limiter les possibilitĂ©s d’accueil en surnombre Ă  110% en EAJE et conserver les modalitĂ©s actuelles de calcul sur la semaine, assurer une surface d’accueil de 7m2 par enfant sur tout le territoire, conserver la capacitĂ© d’accueil des micro-crĂšches Ă  10 enfants, etc. Ces vingt propositions sont dĂ©sormais sur la table des nĂ©gociations que nous appelons de nos voeux. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » lancera un appel-pĂ©tition dans les tout prochains jours, afin d’amplifier le vaste mouvement engagĂ© par les parents, les professionnel-le-s et les citoyen-ne-s. Et si cela s’avĂšre nĂ©cessaire, nous appellerons Ă  se remobiliser dans la rue pour une rĂ©forme qui ouvre vĂ©ritablement un nouveau printemps des modes d’accueil. pasdebebesalaconsigne
Avec« pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne », nous exigeons un Plan d’urgence pour un accueil de qualitĂ© en faveur de la petite enfance : 1 - crĂ©ation massive de nouvelles structures

Publié le 09/04/2010 à 1152 Les auxiliaires de puériculture se sont rassemblées sur la place des Fontaines pour participer à la journée nationale de grÚve contre le décret Morano. Elles réclament une politique publique ambitieuse pour nos enfants leur permettant d'accéder à un mode d'accueil de qualité. Elles se mobilisent contre le décret Morano qui peut conduire à une dégradation des dispositifs existants au détriment des besoins fondamentaux des enfants diminution du personnel qualifié éducateurs de jeunes enfants, puéricultrices et auxiliaires de puériculture passant de 50 à 40 % dans les crÚches et haltes garderies, baisse du taux d'encadrement d'un adulte pour 8 enfants qui savent marcher à 1 adulte pour 12 enfants. Pour les enfants qui ne marchent pas le quota passe de 1 nounou pour 5 enfants à 1 pour 8. Présence en maternelle d'un enseignant et d'un ATSEM à temps plein pour 15 enfants. Toutes les structures de Montauban ont fermé leurs portes hier aprÚs-midi. La demande du retrait du décret a été formulée à la préfecture ainsi que l'obtention d'un plan d'urgence de la petite enfance pour que chaque enfant soit accompagné et soutenu, en toute sécurité, dans son développement.

Bonjour     Les crĂȘches et les maternelles sont en danger Ă  cause d'un projet de dĂ©cret proposĂ© par Nadine

Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne est informĂ© que des professionnelles de la petite enfance envisagent de rejoindre des journĂ©es d’action comme celles concernant la fonction publique le 31 mars ou les services de santĂ© le 7 avril. A cette occasion, Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelle ses propositions soumises aux candidates aux Ă©lections prĂ©sidentielle et lĂ©gislatives dĂ©velopper l’offre d’accueil des jeunes enfants, amplifier la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants et promouvoir la qualitĂ© au travail pour les professionnelles, Ă©tablir un plan "mĂ©tiers" de qualitĂ© et dĂ©velopper et rĂ©nover les formations, favoriser l’accĂšs financier des familles au mode d’accueil de leur choix, instituer un service public de la petite enfance. Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne, sans ĂȘtre Ă  l’initiative des prochaines journĂ©es d’action, ne doute pas que les professionnelles de la petite enfance qui les rejoindront auront Ă  cƓur d’y porter ces exigences pour la qualitĂ© de l’accueil des jeunes enfants et des conditions de travail des professionnelles engagĂ©es auprĂšs d’eux.

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Veniravec pique-nique et des boites Ă  chaussure pour confection de boite Ă  consigne gĂ©ante. NĂźmes : Le collectif 30 ’pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne’ rĂ©unissant CGT, Solidaires, FSU, CNT, et collectifs de personnels non syndiquĂ©s appelle Ă  une grande manifestation, samedi 29 mai, dĂ©part Ă  10h30, jusqu’aux Jardins de la Fontaine.
Association Nationale des PuéricultricesteursdiplÎmées et des étudiantes01 45 39 97 62132 Avenue du Général Leclerc75014 ParisSecrétariat ouvert les lundi, mardi et mercredi - 9h30/12h30 - 13h30/17h
Lorsdu forum de « Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne », le 23 mars Ă  la Bourse du travail de Paris , plusieurs enjeux ont Ă©tĂ© abordĂ©s : L’information clef : en France, un enfant sur deux entre 0 et 3 ans n’a actuellement pas accĂšs Ă  un mode de garde collectif : crĂšche, jardin d’enfants ; avec de grandes disparitĂ©s selon les rĂ©gions et dĂ©partements ; la
Un projet d'ordonnance, actuellement en consultation, apporte de nombreuses et importantes nouveautĂ©s en matiĂšre d'accueil de la petite enfance. Le principal objectif est de simplifier une sĂ©rie de normes et de rĂšgles - surface par enfant, catĂ©gories d'Ă©tablissements, ratios d'encadrement, surnombres temporaires... Certains points ne sont pas encore tranchĂ©s. Le collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne", qui avait appelĂ© Ă  manifester le 23 mai, a Ă©tĂ© reçu par la secrĂ©taire d'État Christelle Dubos et estime avoir obtenu quelques avancĂ©es. PrĂ©vues par l'article 50 de la loi du 10 aoĂ»t 2018 pour un État au service d'une sociĂ©tĂ© de confiance Essoc, qui habilite le gouvernement Ă  prendre "toute mesure relevant du domaine de la loi afin de faciliter l'implantation, le dĂ©veloppement et le maintien de modes d'accueil de la petite enfance", les ordonnances correspondantes sont en cours de finalisation. AprĂšs avoir procĂ©dĂ© Ă  une large concertation et lancĂ© quelques pistes qui n'ont pas manquĂ© de susciter dĂ©jĂ  des rĂ©actions voir notre article ci-dessous du 11 avril 2019, la direction gĂ©nĂ©rale de la cohĂ©sion sociale DGCS a diffusĂ© une version trĂšs avancĂ©e du texte. Celle-ci reste toutefois provisoire et soumise Ă  une nouvelle concertation jusqu'au 15 juillet. Une amĂ©lioration du service rendu aux parents Le projet d'ordonnance apporte plusieurs innovations importantes. Certaines font plutĂŽt consensus, dans la mesure oĂč elles doivent amĂ©liorer la qualitĂ© du service rendu aux enfants et aux parents. C'est le cas de l'amĂ©lioration du maillage territorial des Ă©tablissements d'accueil du jeune enfant Eaje, dĂ©jĂ  bien avancĂ© avec l'instauration des schĂ©mas dĂ©partementaux de services aux familles, lancĂ©s en 2014. Ceux-ci seront dĂ©sormais inscrits dans la loi et les commissions dĂ©partementales de l'accueil de jeune enfant seront remplacĂ©es par des comitĂ©s dĂ©partementaux des services aux familles. Il est Ă©galement prĂ©vu de porter au niveau lĂ©gislatif la mise en Ɠuvre et le respect de la "Charte nationale pour l'accueil du jeune enfant". L'information des parents sera renforcĂ©e par la transformation des relais assistantes maternelles RAM en relais petite enfance RPE avec une vocation plus large. AprĂšs diverses affaires sordides, il est aussi prĂ©vu de "gĂ©nĂ©raliser le contrĂŽle des antĂ©cĂ©dents judiciaires des professionnels de l'accueil du jeune enfant et de l'Ă©tendre aux garderies et entreprises de garde Ă  domicile. Ce contrĂŽle devra ĂȘtre aussi accessible aux parents employeurs via une procĂ©dure simple" ce qui pourrait poser quelques problĂšmes constitutionnels. Des dĂ©rogations pour les horaires atypiques Un volet sur l'inclusion des enfants malades ou handicapĂ©s est par ailleurs prĂ©vu, avec en particulier la mise en Ɠuvre d'une "systĂ©matisation de l'accompagnement Ă  la santĂ©". Il est notamment envisagĂ© de systĂ©matiser le recours Ă  un rĂ©fĂ©rent santĂ© qui ne sera pas forcĂ©ment un mĂ©decin, mais pourra ĂȘtre une infirmiĂšre pour les micro-crĂšches et les maisons d'assistantes maternelles. S'il rĂ©pond aux attentes de certains parents, le dĂ©veloppement de l'accueil occasionnel et des horaires atypiques pourrait toutefois susciter des rĂ©ticences chez les professionnels. Il est en effet prĂ©vu - Ă  titre expĂ©rimental et pour cinq ans - la possibilitĂ© de dĂ©roger au taux d'encadrement rĂ©glementaire lors de l'arrivĂ©e et du dĂ©part des enfants aujourd'hui, au moins deux professionnels prĂ©sents. DorĂ©navant, un seul professionnel pourrait accueillir, dans tous les Eaje, jusqu'Ă  quatre enfants en horaires atypiques, mais pour une durĂ©e ne pouvant excĂ©der deux heures. Droits renforcĂ©s pour les assistantes maternelles Du cĂŽtĂ© des professionnels, l'ordonnance s'attache notamment Ă  amĂ©liorer la situation des assistantes maternelles - secteur dans lequel les candidates se font plus rares - Ă  travers diverses mesures lĂ©galisation de l'exercice dans un tiers-lieu en l'occurrence les maisons d'assistantes maternelles, qui devient un mode d'exercice de droit commun et non plus dĂ©rogatoire, extension aux assistantes maternelles de l'accĂšs Ă  la mĂ©decine du travail et droit au chĂŽmage en cas de dĂ©mission forcĂ©e pour non-respect de l'obligation vaccinale par les parents. L'ordonnance prĂ©voit aussi d'instaurer davantage de passerelles entre les mĂ©tiers et les Ă©tablissements, mais aussi de rendre obligatoire, Ă  titre expĂ©rimental, des temps d'analyse des pratiques, sous la houlette d'un intervenant extĂ©rieur, dans les crĂšches, les micro-crĂšches et les MAM. Une autre mesure risque d'ĂȘtre moins consensuelle elle prĂ©voit de faciliter les remplacements, notamment en incitant aux mutualisations en Eaje et en clarifiant les rĂšgles applicables. Dans les MAM, le texte prĂ©voit d'autoriser jusqu'Ă  six assistantes maternelles travaillant dans une mĂȘme MAM, avec un maximum instantanĂ© de quatre professionnelles et seize enfants. En outre, chaque assistante maternelle serait autorisĂ©e Ă  accueillir exceptionnellement un ou deux enfants supplĂ©mentaires parmi ceux habituellement accueillis, mais dans la limite de seize enfants accueillis simultanĂ©ment. Surface, encadrement l'Ă©pineuse question des normes L'objectif principal fixĂ© par la loi d'habilitation Ă©tait clairement de simplifier un certain nombre de normes et de rĂšgles, afin de faciliter la crĂ©ation de mode de garde collectifs, qui a nettement marquĂ© le pas au cours de la derniĂšre convention d'objectifs et de gestion de la Cnaf voir notre article ci-dessous du 2 avril 2019. Pour les porteurs de projets et les gestionnaires, le texte prĂ©voit ainsi d'expĂ©rimenter un dispositif de guichet unique, la CAF, la PMI et la commune se chargeant alors de l'ensemble de l'instruction et des Ă©changes entre institutions. Mais le sujet le plus conflictuel concerne, bien entendu, la rĂ©vision des normes. Il ne devrait pas y avoir de problĂšme - du moins pour les Eaje publics - sur la mesure prĂ©voyant de crĂ©er une norme nationale de 7 m2 de surface minimale par enfant, dans la mesure oĂč il s'agit dĂ©jĂ  de la norme communĂ©ment appliquĂ©e par les services de PMI. En revanche, le texte prĂ©voit de dĂ©roger Ă  la rĂšgle des 7 m2 par enfant pour descendre Ă  5,5 m2 dans les communes "densĂ©ment peuplĂ©es", Ă  condition toutefois que le lieu dispose d'une surface minimale de 20 m2 sous forme d'un espace intĂ©rieur ou extĂ©rieur dĂ©diĂ© Ă  la motricitĂ©. Dans le mĂȘme esprit, mais sans doute moins conflictuel, le texte prĂ©voit de rĂ©duire les effets de seuil en ramenant la classification Ă  cinq catĂ©gories micro-crĂšche, petite crĂšche jusqu'Ă  25 places, moyenne crĂšche 26 Ă  40 places, grande crĂšche 41 Ă  60 places et trĂšs grande crĂšche 61 places et plus. Enfin, sur les ratios d'encadrement, le texte proposĂ© abandonne la distinction traditionnelle entre les enfants qui marchent et ceux qui ne marchent pas. À ce stade, il ne tranche pas, mais propose une alternative soit un taux diffĂ©rent en fonction de l'Ăąge des enfants avec un adulte pour cinq enfant jusqu'Ă  18 mois au lieu de 15 mois comme envisagĂ© initialement, soit un taux unique d'un professionnel pour six enfants, quel que soit leur Ăąge. Le texte propose Ă©galement un choix alternatif, Ă  trancher dans le texte dĂ©finitif, pour les surnombres temporaires d'enfants en Eaje soit la possibilitĂ© d'accueillir simultanĂ©ment 20% d'enfants au-delĂ  de la capacitĂ© autorisĂ©e Ă  condition de ne pas dĂ©passer un taux d'occupation hebdomadaire de 100% de la capacitĂ© d'accueil horaire autorisĂ©e ; soit la possibilitĂ© d'accueillir simultanĂ©ment 15% d'enfants au-delĂ  de la capacitĂ© autorisĂ©e, dans la limite de 20 heures par semaine rĂ©parties selon les besoins, mais sans obligation d'avoir un taux hebdomadaire en deçà de 100% de la capacitĂ© horaire autorisĂ©e. Pour les sorties, le texte prĂ©voit, Ă  titre dĂ©rogatoire, un encadrement d'un professionnel pour quatre enfants, mais pour une durĂ©e maximale de deux heures. Des rĂ©actions contradictoires Les rĂ©actions ne se sont pas fait attendre. Le collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne", trĂšs actif depuis la prĂ©cĂ©dente rĂ©forme des normes durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy et qui regroupe toutes les organisations syndicales, a maintenu son appel Ă  manifester le 23 mai. Des rassemblements ont ainsi eu lieu dans prĂšs de 50 villes. Le collectif annonce "des centaines de crĂšches en grĂšve" et manifestants Ă  Paris, Ă  Marseille, 800 Ă  Toulouse, 700 Ă  Lyon, 400 Ă  Nantes, 300 Ă  Nice et Montpellier... Le collectif conteste notamment "une surface d'accueil par enfant dans les grandes villes de 5,5 m2 alors que tous les acteurs s'accordent sur la nĂ©cessitĂ© d'au moins 7 m2 pour assurer des conditions de jeu et de vie favorables au dĂ©veloppement des jeunes enfants". Il dĂ©nonce aussi "une augmentation de la capacitĂ© d'accueil des micro-crĂšches Ă  au moins 16 enfants, au lieu de 10 aujourd'hui, alors qu'elles fonctionnent avec des dĂ©rogations importantes par rapport aux autres Ă©tablissements, par exemple concernant les qualifications professionnelles" De son cĂŽtĂ©, la FĂ©dĂ©ration française des entreprises de crĂšches FFEC, qui reprĂ©sente les crĂšches privĂ©es, "appelle le gouvernement Ă  ne pas dĂ©truire de crĂšches". À l'inverse du collectif, hostile aux dĂ©rogations, la FFEC s'inquiĂšte de la norme nationale de 7 m2 par enfant, qui doit "remplacer la surface minimale constatĂ©e actuelle de 6 m2 par enfant [...], dĂ©truisant ce faisant places de crĂšches d'un trait de plume". Pour donner ce chiffre, la FFEC s'appuie sur une "estimation" portant sur un Ă©chantillon de 311 micro-crĂšches privĂ©es. La FĂ©dĂ©ration estime Ă©galement qu'un taux unique d'un professionnel pour six enfants l'une des deux hypothĂšses envisagĂ©es "nĂ©cessiterait une dĂ©pense supplĂ©mentaire d'au moins cinq cent millions d'euros". Des prĂ©cisions ministĂ©rielles Reçu Ă  l'issue de la manifestation parisienne par Christelle Dubos, la secrĂ©taire d'État auprĂšs d'AgnĂšs Buzyn, "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" annonce avoir obtenu des Ă©claircissements ou des avancĂ©es sur certains points. Dans un communiquĂ© du 24 mai, il explique ainsi avoir obtenu le maintien du ratio 40/60 dans l'encadrement des crĂšches 40% de professionnels diplĂŽmĂ©s d'État puĂ©ricultrices, Ă©ducateurs de jeunes enfants, infirmiers, psychomotriciens, auxiliaires de puĂ©riculture. La modification de ce ratio ne figurait toutefois pas dans le projet d'ordonnances, mais le collectif continue de plaider pour un ratio 50/50. Le collectif a Ă©galement rappelĂ© son attachement Ă  la norme de 7 m2 par enfant "en tout point du territoire", Ă©cartant ainsi le projet de dĂ©rogation Ă  5,5 m2 dans les zones Ă  forte pression fonciĂšre qui, selon le communiquĂ©, concernerait 604 communes pour prĂšs de 23 millions d’habitants. Il s'est par ailleurs prononcĂ© pour la norme Ă  12 enfants dans les micro-crĂšches, qui constitue "le maximum acceptable, compte-tenu du cadre dĂ©rogatoire des micro-crĂšches concernant les qualifications et de leur financement Paje qui dĂ©favorise la mixitĂ© sociale en leur sein". Enfin, sur "l'accroissement du surbooking" dĂ©rogations temporaires aux capacitĂ©s maximales d'accueil, le collectif a entendu l'argument de la secrĂ©taire d'État, selon lequel l'objectif est d'abord de pallier des situations urgentes et inattendues de manque de personnel ou de rĂ©pondre Ă  un besoin urgent des familles. Mais, "si telle est l'intention, cela requiert que le projet soit réécrit dans ce sens et non dans celui d'une optimisation des taux de frĂ©quentation des crĂšches au dĂ©triment de la qualitĂ© d'accueil des enfants". Pour le reste, Christelle Dubos a confirmĂ© les diffĂ©rentes options qui restent ouvertes dans le cadre de la concertation, notamment sur les ratios d'encadrement. ALERTE! En France, la qualitĂ© d'accueil de la petite enfance est en danger. Demain, 11 mars, il y Le collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" qui regroupe associations professionnelles et syndicats de la petite enfance,s'oppose Ă  une proposition de loi prĂ©sentĂ©e Ă  l'assemblĂ©e nationale le jeudi 29 avril. Cette loi vise Ă  autoriser le regroupement d'assistantes maternelles en une mĂȘme structure. La proposition de loi La loi permettrait la crĂ©ation de maisons d'assistantes maternelles Ă  partir de 4 assistantes, dans un local hors du domicile, chaque assistante pouvant prendre en charge 4 enfants. Ces maisonspourraient donc accueillir jusqu'Ă  16 enfants. Les assistantes seraient payĂ©es directement par les parents. Ces derniers emploieraient une seule assistante mais pourraient autoriser celle-ci Ă  dĂ©lĂ©guer temporairement la garde de leurs enfants Ă  leurs collĂšgues travaillant dans la mĂȘme maison. Selon le sĂ©nateur Jean Arthuis, Ă  l'origine du projet de loi, ces maisons » d'assistantes maternelles seraient une solution pour les parents qui travaillent en horaires atypiques ou qui vivent en zone rurale, pour les communes qui ne peuvent soutenir la crĂ©ation d'une crĂšche, pour les assistants maternels qui veulent rompre leur isolement» Les professionnels en colĂšrePour le collectif, cette proposition de loi ne permet pas de satisfaire aux exigences minimales que supposent de tels dispositifs d'accueil. Ils mettent notamment en avant l'insuffisance de qualification et d'expĂ©rience de l'accueil collectif des assistants maternels ». Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rĂ©clame donc le retrait en l'Ă©tat de cette proposition de loi. D'ores et dĂ©jĂ , le collectif annonce une journĂ©e de grĂšve gĂ©nĂ©rale de la petite enfancelejeudi 6 mai etune manifestation Ă  caractĂšre national parents-professionnels lesamedi 29 mai.
Pasde bébés à la consigne tiendra une visioconférence de presse le mercredi 14 avril à 11h (lien à venir). Pas de bébés à la consigne appellera prochainement les parents et les de nouvelles mobilisations pour un
La rĂ©forme des modes d’accueil de la petite enfance continue Ă  ne pas faire l’unanimitĂ© auprĂšs des Le gouvernement prĂ©voit nĂ©anmoins de publier les ordonnances de cette rĂ©forme courant juin. Lire la suite
 Cette loi est dangereuse, le 15 avril 2021, le CA de la CNAF Caisse Nationale des Affaires Familiales a rejetĂ© le projet de dĂ©cret rĂ©formant les modes d’accueil. Cette rĂ©forme c’est La possibilitĂ© d’accueillir plus de bĂ©bĂ©s par L’accueil en surnombre tous les jours. L’absence d’expĂ©rience professionnelle pour le personnel encadrant. Le calcul de leffectif moyen annuel du personnel pour le ratio des 40% de et 60 % de L’inclusion des apprentis dans le calcul du taux d’encadrement. L’administration des mĂ©dicaments par les non La diminution de la surface d’accueil par enfant de 7m2 Ă  5,5 m2. Exemples de quotas d’accueil des tous petits Hollande 3 enfants pour un adulte, Hongrie 4 enfants pour un adulte, GrĂšce 4 enfants pour un adultes
 En France, cette rĂ©forme fera passer le nombre d’enfants de 5 Ă  6 enfants pour un adulte. Nous revendiquons L’abandon de la loi ASAP et des projets dordonnaces associĂ©s Le bien ĂȘtre et la sĂ©curitĂ© des enfants des Ă©tablissements d’accueil et un Service public de la Petite Enfance de qualitĂ© Des conditions de travail dĂ©centes Une vĂ©ritable reconnaissance des Une prise en compte de la pĂ©nibilitĂ© permettant un dĂ©part anticipĂ© Ă  la retraite Une revalorisation des salaires et des carriĂšres La mobilisation doit se poursuivre ! NON Ă  la dĂ©gradation de nos mĂ©tiers pour la compĂ©titivitĂ© lucrative NON Ă  des conditions de travail de plus en plus difficiles et dĂ©gradĂ©es NON Ă  un manque de criant encore plus Ă  cette pĂ©riode de Covid NON Ă  un nombre d’enfants toujours plus important Ă  accueillir NON Ă  des protocoles sanitaires difficilement applicables avec les moyens allouĂ©s. Tous et toutes jeudi 3 juin 2021 Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! Les auxiliaires de puĂ©riculture se sont retrouvĂ©es sur la place des Fontaine et ont ensuite rencontrĂ© Mme Costes, SecrĂ©taire GĂ©nĂ©rale de la PrĂ©fecture. Photo vendredi 10 avril 2009 popularitĂ© 10% La volontĂ© des Pouvoirs Publics de dĂ©velopper l’offre d’accueil du jeune enfant avec la crĂ©ation de 200 000 places d’accueil d’ici Ă  2012 est lĂ©gitime. Mais les propositions de modification du dĂ©cret du 20 fĂ©vrier 2007, relatif aux Ă©tablissements et services d’accueil, si elles sont maintenues, s’orientent vers une dĂ©gradation de la qualitĂ© d’accueil du jeune enfant. Suite Ă  la manifestation de notre opposition aux mesures envisagĂ©es, le gouvernement vient d’annoncer le 2 avril 2009, par la voix du directeur de cabinet de Madame Morano, secrĂ©taire d’Etat Ă  la famille, que les taux d’encadrement des enfants dans les Ă©tablissements et services d’accueil ne seraient pas modifiĂ©s un adulte pour 5 bĂ©bĂ©s et un adulte pour 8 enfants qui marchent. Cependant d’autres dispositions pourraient ĂȘtre prises Diminution de la qualification du personnel la proportion des professionnels les plus qualifiĂ©s Ă©ducateurs de jeunes enfants, puĂ©ricultrices et auxiliaires de puĂ©riculture serait revue Ă  la baisse. Projet de jardin d’éveil confirmĂ© mais demeurant extrĂȘmement vague, sauf pour le taux d’encadrement des enfants qui serait Ă©galement rĂ©duit un adulte pour 12 enfants de 2 Ă  3 ans au lieu d’un adulte pour 8 enfants aujourd’hui. Augmentation des capacitĂ©s d’accueil en surnombre portĂ©es Ă  20% au lieu de 10% actuellement. Pourtant, les connaissances sur le dĂ©veloppement du jeune enfant ... Lire le texte complet de la pĂ©tition et la signer en ligne Site de la pĂ©tition
Crééen 2009, le collectif « Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » ne veut plus attendre. En l’absence de mesures gouvernementales, le groupe a prĂ©sentĂ© ses propositions de rĂ©forme lors d’une confĂ©rence de presse Ă 
Ce mardi 30 mars, l’équipe de la crĂšche Au Royaume des Lutins » de Beauzac s'est mobilisĂ©e Ă  nouveau Ă  l’appel du collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ». Les professionnelles de Beauzac ne veulent pas de la rĂ©forme du gouvernement, rĂ©forme Taquet, concernant les modes d’accueil des jeunes enfants. Selon les professionnelles de la petite enfance, "ce projet engendrera une dĂ©gradation des conditions d’accueil des trĂšs jeunes enfants et des conditions de travail". Leurs principales craintes ? - La possibilitĂ© d’un taux d’encadrement unique de 1 professionnelle pour 6 bĂ©bĂ©s. - la baisse du ratio des personnels les plus qualifiĂ©s, - une augmentation des possibilitĂ©s d’accueil en surnombre jusque lĂ  c’était Ă  titre exceptionnel de 10% en plus, celui-ci pourrait ĂȘtre quotidien et augmenter jusqu’à 15 %. - une rĂ©duction de la surface d’accueil par enfant m2 par enfant alors que tous les acteurs s’accordent sur la nĂ©cessitĂ© d’au moins 7 m2 pour assurer des conditions de jeu et de vie favorables au dĂ©veloppement des jeunes enfants. - ou encore, des directions sans expĂ©rience auprĂšs de la petite enfance. "AmĂ©liorer la productivitĂ© » et la rentabilitĂ© » des Ă©tablissements de jeunes enfants ne peut ĂȘtre compatible avec une qualitĂ© d’accueil du jeune enfant afin que chaque enfant puisse ĂȘtre considĂ©rĂ© et respectĂ© dans son dĂ©veloppement unique." Toute l’équipe de la crĂšche a donc trouvĂ© important d’informer et de sensibiliser les parents Ă  cette cause.
Lecollectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne s’est adressĂ© aux administrateurs de la CNAF en leur envoyant un texte argumentĂ© pour leur demander de ne pas Ă©mettre un avis favorable sur ce projet de dĂ©cret. Vous trouverez ci-aprĂšs cette adresse aux administrateurs CNAF qui dĂ©veloppe nos motifs d’inquiĂ©tude sur les consĂ©quences prĂ©judiciables du dĂ©cret pour la
AccueilClub Education et Vie scolaireActualitĂ©s Education et Vie scolaireToute l'actu Education et Vie scolaireActu expert Education et Vie scolairePas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne relance la mobilisation contre le dĂ©cret Morano Petite enfance PubliĂ© le 02/02/2011 ‱ dans Actu expert Education et Vie scolaire, Actu expert santĂ© social, France Suite Ă  une rencontre nationale organisĂ©e le samedi 29 janvier 2001 Ă  Paris, le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne, qui rĂ©unit des professionnels de la petite enfance et des parents, a dĂ©cidĂ© de remobiliser ses troupes le 11 mars 2011, annonçant des initiatives diverses dans de nombreuses villes grĂšve, manifestations ou rassemblements, dĂ©bats publics ». Ma Gazette SĂ©lectionnez vos thĂšmes et crĂ©ez votre newsletter personnalisĂ©e Notre colĂšre n’est pas retombĂ©e », explique Birgit Hilpert, Ă©ducatrice de jeunes enfants et l’une des porte-parole du collectif pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne, nous prĂ©senterons dans les prochains jours notre Plan d’urgence pour l’accueil de la petite enfance ».Dans le document de travail de ce Plan d’urgence, le collectif exige, notamment le retrait du dĂ©cret Morano sur l’accueil collectif des jeunes enfants contre lequel le collectif a dĂ©posĂ© un recours en Conseil d’État en aoĂ»t 2010,l’amĂ©lioration des taux actuels de professionnels qualifiĂ©s et des ratios d’encadrement,un plan ambitieux de formation de professionnels qualifiĂ©s pour crĂ©er places d’accueil manquantes,l’accĂšs des professionnels ayant un CAP petite enfance et des assistantes maternelles agréées qui le souhaitent ... [70% reste Ă  lire] Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Club SantĂ© Social, Club Éducation et vie scolaire VOUS N'ĂȘTES PAS ABONNĂ© ? Testez notre Offre DĂ©couverte Club SantĂ© Social pendant 30 jours J’en profite Nos services PrĂ©pa concours ÉvĂšnements Formations
LUnion Locale CFDT de BAR LE DUC appelle à une Mobilisation générale le 8 avril pour le retrait du nouveau décret sur l'accueil collectif, pour un plan d'urgence pour la
Mars et mai 2019, janvier 2020, fĂ©vrier 2021 par milliers, les de la petite enfance sont dans la rue pour s’opposer Ă  la rĂ©forme des modes d’accueil. Mais le gouvernement n’a pas encore bien entendu notre protestation ! Nous refusons le calcul du taux d’encadrement qui conduirait à six bébés par professionnel, la prise en compte des apprentis dans ce taux, le ratio de 40/60 calculé en moyenne annuelle ». Nous refusons l’accueil en surnombre à 115 % tous les jours, huit heures par jour. Nous refusons 5,5 mĂštre carrĂ© seulement par enfant en zone dense. Nous refusons des directions sans expérience professionnelle pour jusqu’à quarante places en crèche. Nous refusons une demie heure seulement par mois d’analyse de pratique en crèche et rien de garanti pour les assistants maternels. Nous exigeons un taux d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants quel que soit l’âge et au moins 50% de professionnels les plus qualifiés en crèche. Nous exigeons une limite à 110 % avec une moyenne hebdomadaire de 100% des inscrits. Nous exigeons 7 mĂštres carrĂ© minimum par enfant garantis sur tout le territoire. Nous exigeons une expérience professionnelle pour diriger toute crèche. Nous exigeons de véritables temps utiles d’analyse de pratiques pour tous les professionnels des modes d’accueil. Nous exigeons aussi le maintien des micro‐crèches à dix enfants, l’élévation globale des niveaux de qualification des professionnels de l’accueil individuel et collectif par la formation initiale et la formation continue diplômante, l’alignement du coût restant aux familles sur la base du quotient familial quel que soit le mode d’accueil. Pour ne pas grever l’avenir des bébés, nous appelons à la grĂšve le 30 mars 2021 dans tous les modes d’accueil. » – DĂ©couvrez sur la carte ci-dessous l’ensemble des manifestations prĂ©vues partout en France. À Paris, le dĂ©part est prĂ©vu Place Denfert-Rochereau Ă  10h. Voir en plein Ă©cran – Plus d’informations sur le site et via l’évĂ©nement facebook CrĂ©dit photo Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne CBZPw.
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